Comment former les Martiniquais sur place pour favoriser l'emploi local en Martinique ?
Sujet ouvert le 16 janvier 2025

La Martinique fait face à des défis démographiques qui menacent son avenir socio-économique. Vieillissement, baisse de la population active, risque de pénurie de main-d’œuvre… Comment relever ces défis ? Quelles solutions pour former et maintenir les jeunes talents sur le territoire afin d’assurer le développement futur de l’île ? Quelles sont vos propositions pour permettre aux Martiniquaises et aux Martiniquais d’être formés sur le territoire dans le but de travailler au pays ?

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Le territoire manque de formations orientées vers l’innovation et la technologie, ce sont pourtant les métiers de demain (et d’aujourd’hui car nous y sommes déjà).
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Il faut former le martiniquais à être polyvalent. Par exemple, un professionnel de la toiture devrait être à la fois charpentier, couvreur, monteur photovoltaique.
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Rédacteur anonyme pense que :

Choisir quelques spécialités pour le campus et l’économie ( la mer, les risques, la vulcanologie, l’environnement, la santé ou autres), et devenir champion Amérique ou mondial de ces spécialités. Être éclaireur, pas suiviste.
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Il faut multiplier les études prospectives sur l'emploi pour adapter les formations aux besoins réels des secteurs économiques et des entreprises martiniquaises.
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L'alternance est Un bon début mais la réalité est qu'il n'y a pas suffisamment d'employeurs formés et favorables à recevoir des apprentis. Pourtant ce rôle est essentiel pour la transition de certaines valeurs liées au travail. Nos jeunes n'ont pas une belle image du monde professionnel.
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L'alternance est Un bon début mais la réalité est qu'il n'y a pas suffisamment d'employeurs formés et favorables à recevoir des apprentis. Pourtant ce rôle est essentiel pour la transition de certaines valeurs liées au travail. Nos jeunes n'ont pas une belle image du monde professionnel.
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Rédacteur anonyme pense que :

L'autonomisation des jeunes est essentielle : accès facile à un logement, aide pour le financement de leurs études localement, faciliter leur déplacement grâce à un transport public accessible. De plus un accès à des formations post licence de qualité qui rendrait en outre le territoire attractif.
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